4h18 du matin. Sept visages dressés sous le ciel grondant de Londres. Sept âmes brisées, en plein cauchemar éveillé…
Dans ce poème urbain, Kae Tempest célèbre la pulsation de vie d’une génération désenchantée, en quête d’une échappatoire à la solitude humaine et la combustion du monde, pour nous reconnecter à la force des éléments. Nous sentir vivant.es.
Une déflagration de beauté, un flow puissant. (Note de l’éditeur)
Crédit photo : Jim Dyson/Getty Images
Kae Tempest : Qu’on leur donne le Chaos, L’Arche, 2022, pages 12, 17, 36, 58, 76/77.
Edition bilingue, traduction Louis Bartlett et D’ de Kabal
Collection des écrits pour la parole.
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