Triptyque en trois dimensions, œuvre d’art creusant le vide, qui ouvre sur le néant…
Le premier panneau relate les circonstances de l’attente, présente le boucher — celui qui s’enrichit d’un commerce illégal, cet « homme à la face sale » —, évoque l’acte pour lequel aucun terme n’est assez cru. Deuxième acte de cette tragédie muette : le réel s’ouvre explicitement à l’imaginaire, avec la description d’une image rêvée, fixe cette fois. Son titre « La femme encagée ». La troisième mise en images revisite l’une des scènes les plus représentées de l’histoire religieuse : l’annonciation.
d’après Anne Malaparte, note de lecture sur Poezibao
Retrouver quelques extraits de ce texte lus par Marie-José :